De l'art#11: Adol Christin, l'homme le plus classe du monde.
Je reviendrais probablement plus en détail sur la série Ys , rencontrée à l'époque où je n'avais ni barbe, ni rides, ni l'impression de mourir chaque matin au réveil, il y a de cela 24 ans. Mais je tenais , après avoir trop souvent aperçu cette merveille d'Ys: Memories of Celceta abandonnée dans un bac à promo de grande surface, le blister déchiré et la cartouche même pas volée, à vous en montrer un petit bout, certes pas in-game au vu de ses graphismes un poil moyens (souci occulté par un gameplay d'une férocité jouissive) , mais juste son intro, qui se regarde avec les yeux et les oreilles grand ouverts.
Ys, ça ne cherche pas l'originalité, ce que vous verrez dans cette intro évoque l'un des 200.000 jeux d'aventure Nippon qui peuplent nos machines, mais question efficacité, on en a à chaque fois pour son argent, et ça c'est bon.